Première Québecoise
Underground Sur demande

Climate of the Hunter

Réalisé par Mickey Reece

Crédits  

Selection officielle

Fantastic Fest, Festival du film de Nashville, Festival du film fantastique d'Australie, Festival du film de Floride, Festival du film Chattanooga, Festival du film d'Atlanta, Festival du film Calgary Underground

Réalisateur

Mickey Reece

Scénario

Mickey Reece, John Selvidge

Interprètes

Mary Buss, Laurie Cummings, Ginger Gilmartin, Ben Hall, Danielle Ploeger, Jacob Snovel

Producteur

Jacob Snovel

Direction de la photographie

Samuel Calvin

Conception sonore

Juan Campos

Musique

Nicholas Poss

Montage

Mickey Reece

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N/A

États-Unis 2019 90 mins V.O. anglaise
Genre Horreur

Préparez-vous pour un film plein de vin, de Jello et de vampires! Dans son 27e long métrage, CLIMATE OF THE HUNTER, le célèbre cinéaste marginal Mickey Reece (STRIKE, DEAR MISTRESS, CURE HIS HEART) dresse deux sœurs (les inoubliables Mary Buss et Ginger Gilmartin) l’une contre l’autre alors qu’elles se disputent l’affection d’un homme qui pourrait être, ou pas, un vampire assoiffé de sang. Un film débordant de personnages excentriques, de chiens philosophes, de transitions en étoile et de plateaux de Jello horriblement attirants, CLIMATE OF THE HUNTER est un nouveau classique étonnamment séduisant et démesuré. Ce mélodrame psychosexuel pose un amusant regard sur la perversité des vieux vampires et examine les diverses névroses de ses personnages désespérés et solitaires qui mangent, boivent, pleurent et flirtent autour d’un souper aux chandelles.

Débordant de tension sexuelle et de références cinématographiques, CLIMATE OF THE HUNTER plonge l’auditoire dans un univers plantureux et érotique. Rendant hommage à Ingmar Bergman et Douglas Sirk, le film insuffle aux émotions plus grandes que nature des mélodrames l’atmosphère surréaliste et onirique des films d’horreur européens. Avec son format 4:3, le film nous replonge dans les après-midi cinéma de notre jeunesse avec un style d’époque réalisé à l’aide de la caméra ALEXA Mini, équipée d’un objectif des années 1970. Un festin pour les yeux et pour l’imagination, le film joue sur une variété de clichés démodés qu’il renverse et revampe grâce au développement des personnages autant inattendu que singulier. Ironique, absurde et irréel en tous points, CLIMATE OF THE HUNTER est le film parfait pour les fins gourmets aux goûts audacieux. – Traduction : Stéphanie Cusson